On prend exactement les mêmes (acteurs, scénariste,
producteurs, réalisateur...) et on y retourne. Qu’y-a-t’il
au programme ? Elfe, mandragore, fantômes et bestioles
géantes –le bestiaire a diminué et c’est
dommage- un mystère à la hauteur avec une solution
pleine de surprises et plein de prouesses techniques (décors
sublimissimes, FX impeccables, costumes somptueux...)
La nouveauté ? 2 profs dont un pour nous faire rire,
une certaine noirceur (autour d’Harry et de ses pouvoirs
aux origines sombres), une certaine cruauté (le sang
sur les murs, le chat et l’elfe esclave et auto-destructeur
qui nous fait rire jaune), une peur distillée (les araignées
et surtout le serpent) et même une certaine violence sanglante
(sur le serpent, l’histoire de la fille morte). On est
complètement pris par le film et son atmosphère
envoûtante, on s’extasie comme des gosses devant
les scènes époustouflantes (les monstres, le jeu...),
Colombus continue à briller d’imagination (les
plans aériens improbables, la scène sur les balais,
digne de Lucas), le scénario
de nous faire des clins d’oeil (Merlin, Ulysse, le Phoenix,
la gorgone, la mandragore...) et de nous faire visiter l’un
des lieux les plus évocateurs du cinéma (Poudlard
et ses alentours), les acteurs de nous épater chacun
dans leur domaine. Vivement la suite !
NOTE : 17-18 / 20