Une intro minable et qui plus seulement raccord avec l'épisode
4 (en reprenant le personnage de Tommy) : Jason joue les Frankenstein
et fait son coming out en assumant pleinement son statut de
mort vivant.
Sortie du gimmick de la coccinelle, rien de neuf à se
mettre sous la dent : Jason extermine tout ce qui se met sur
sa route -surtout ce qui est jeune et sexué, avec une
préférence pour les êtres au QI limité-
et défend son territoire. L'absence de scénario
est criante ("c'est pas moi, c'est Jason") et se voit
au fil des personnages, simplement introduit pour être
découpés dans les 5 minutes.
Rien à en tirer si ce n'est un ou deux traits d'humour,
parfois noir, aussi rares que réussis (Jean Paul Sartre
!!). Ça manque de peur, de personnalité, de rage.
Sans parler d'une fin absolument pas à la hauteur.
NOTE : 3 / 20