Dune

Ce téléfilm n’a aucunement la richesse visuelle d’un film (d’où les personnages collés à la caméra), ni les moyens (abus de synthèse qui donne un aspect album de photo un peu froid, les mattes plutôt ridicules) ; peut-être que cela vaut mieux pour l’histoire ? Et cette fresque politique intersidérale ressort très bien même si le non-lecteur aura un peu de mal à accrocher. Harrison n'y fait pas montre d’une grande personnalité. Dommage car le livre possède la richesse d’un « Star wars » (Lucas doit beaucoup à Herbert)