BOX-OFFICE
(du 16 au 18 juin 2006) |
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Rang |
Titre |
Entrees (Million de $) |
Variation hebdo |
Cumul (Millions de
$) |
Budget |
1 |
Cars |
33,7 |
- 44 % |
117,0 |
120 |
2 |
Super Nacho |
28,3 |
New |
28,3 |
35 |
3 |
Fast and furious : Tokyo drift |
24,0 |
New |
24,0 |
- |
4 |
Entre deux rives |
13,6 |
New |
13,6 |
40 |
5 |
La rupture |
9,8 |
- 52 % |
92,3 |
52 |
6 |
7,8 |
- 51 % |
216,2 |
210 |
|
7 |
Garfield 2 |
7,3 |
New |
7,3 |
- |
8 |
666 la malédiction |
5,6 |
- 65 % |
47,2 |
25 |
9 |
Da Vinci code |
5,3 |
- 50 % |
198,8 |
125 |
10 |
Nos voisins les hommes |
4,3 |
- 58 % |
139,0 |
- |
11 |
The last show |
2,8 |
- 38 % |
9,1 |
- |
12 |
Une vérité qui dérange |
1,9 |
+ 27 % |
6,6 |
- |
13 |
Mission : impossible 3 |
1,3 |
- 56 % |
130,2 |
150 |
14 |
Poseidon |
0,6 |
- 66 % |
56,5 |
160 |
15 |
Raymond |
0,6 |
- 27 % |
60,2 |
- |
16 |
Camping car |
0,6 |
- 68 % |
66,5 |
50 |
17 |
L'âge de glace 2 |
0,4 |
- 19 % |
192,8 |
80 |
18 |
Deep sea 3D |
0,3 |
- 7 % |
11,5 |
- |
19 |
Keeping up with the Steins |
0,2 |
- 33 % |
3,4 |
- |
20 |
Lucky girl |
0,2 |
- 50 % |
16,8 |
- |
- |
See no evil |
- |
- |
(14,7) |
8 |
- |
Stick it |
- |
- |
(25,9) |
- |
- |
The proposition |
- |
- |
(1,3) |
- |
- |
The wild |
- |
- |
(36,0) |
80 |
Passé les gros bourrins de juin -et en attendant les gros bidets de
juillet- le rythme des sorties s'accentue, la poésie en sus. Cars
(John Lasseter) joue les prolongations
pour une seconde semaine en tête des salles US : ses chutes restent
suffisamment importantes pour que l'on soit un rien inquiet pour son avenir
de recordmovie (ça se dit ça ? J'vais rentrer dans l'dico !)
face à des bêtes de guerre tels que -dans la même famille-
Le monde de Nemo
(340 M$), Les indestructibles
(261 M$), Monstres et
Cie (256 M$) ou Toy
story 2 (246 M$). Il va falloir relever le capot... ou plutôt
la tête. Parmi la joli moisson de nouveautés dont j'annonçais
la venue il y a encore quelques lignes, partager entre rires adultes, action,
rires d'enfants et tristesse, se sera Super Nacho, avec le
comique Jack Black, qui sera le plus fort (en même temps, pour un catcheur...)
; son réalisateur n'est autre que Jared Hess (mais si je ne vous en
dit pas plus vous ne serez guère avancé !) qui avait fait forte
sensation il y a peu avec l'inédit in France Napoleon dynamite
: soit des débuts à 100 000 $ et une fin à plus de 44
millions de ces mêmes billets verts. Un futur succès déjà
remboursé ; le rire adulte est en tête. Un peu plus loin, une
autre histoire de voiture débute : Fast and furious 3
-sans hypocrisie le monde est plus joli- marque la fin d'une lucrative licence
puisque l'opus 1 engrangeait 40 M$ (144 en tout) et l'opus suivant 50,5 M$
(mais 127 au final). Bow Wow (sans Lil', puisqu'il a grandit...) et Justin
Lin (Annapolis : 7,7 M$ / 17 M$) s'y collent mais vont y
laisser des plumes. L'action molle...
Il ne partait absolument pas favori pour la course au titre, et bien, s'il
ne court pas en tête, Entre deux rives, drame interprété
par Keanu Reeves et Sandra Bullock, signé par l'argentin Alejandro
Agresti, peut se vanter d'une bien belle moyenne / copie, deux fois supérieur
à l'un de ses concurrents (mais je en vous dit pas encore lequel !)
et ça, c'est toujours bon à prendre ! X3
(Brett Ratner) vient de donner une leçon
à X2 en
le devançant, tout comme ce dernier avait devancé
X1, devenant une licence hautement lucrative et étonnante
; des chutes encore correct dans le contexte actuel. Voici venu le temps de
la véritable mauvaise nouvelle du week-end : les américains
n'aiment plus les chats (serais-je donc américains ? Oui !!!) ; Garfield
2 fait trois fois moins rire d'enfants que son prédécesseur
qui, je le rappelle, n'avait déjà pas fait une belle carrière
aux USA (21,7 M$ / 75,4 M$). Jennifer Love Hewitt et Bill Muray sont pourtant
toujours de la partie, le réalisateur n'est autre que Tim Hill (Les
Muppets dans l'espace : 4,8 M$ / 16,3 M$ ; Max Keeble
: 5,4 / 17,3 M$) et le scénario signé Joel Coen... mais c'est
toujours un homonyme !!! Un bide retentissant... on pari qu'il en sera tout
autre en France ? Et derrière ça tombe comme des mouches mais
la joie est encore palpable : La rupture, avec Jennifer Aniston,
sera très bientôt membre du club des films ayant dépassé
les 100 millions de recettes et ça tombe bien puisque, en 3 week-end
de présence il fait mieux que le matou du dessous.666
(J. Moore) est quasiment remboursé
par deux fois et le film cartonne dans le monde entier... mais aux States
c'est une fin de carrière anticipée qui s'annonce ! Nos
voisins les hommes possède toujours un petit train hebdomadaire
de retard sur le "grand" Da Vinci code (Ron
Howard) que l'on trouverai presque en grande forme cette semaine.
Le Top 10 ferme ses portes à The last show (A
prairie home companion) (Altman),
qui tient doucement la route mais ne fera pas de miracle (soit une carrière
à la hauteur de Dr T et les femmes ; 13 M$) ; c'est
plus qu'officiel : M : I : 3 ne sera pas rembourser sur le
sol national (la honte !), Poseidon (Wolfgang
Petersen) n'y a jamais compté (même à l'international
La marche de l'empereur le ridiculise encore ; voir les News)
et Camping car (Barry Sonnenfeld)
semble pâtir de la concurrence à moteur actuelle !
Parmi le nombre des éclopés suivants ses messieurs, il y a un
certain Une vérité qui dérange, doc
sur le réchauffement de la planète, qui fait tout péter
: il est le seul à grimper en terme de spectateurs, à possèder
une moyenne par copies loin de ses acolytes de fond de classement, à
ne perdre qu'une place quand 4 nouveaux films viennent se positionner au-dessus...
alors, forcément, c'est un peu la fête : il devient déjà
le 11ème plus gros succès du genre de tout les temps sur le
sol US. Et je vous jure que c'est loin d'être terminé... L'ex-revenant
Raymond (revenu dans le Top 20 le week-end dernier alors
qu'il en avait été évincé 6 semaines auparavent
!!!) fait de la résistance... et une belle résistance ! L'âge
de glace 2, de Carlos Saldanha
se hisse, au général et historique,
à la même hauteur que
Madagascar. Les chutes de Keeping up with the
Steins et de Deep sea 3D additionnées ne
couvre pas encore le désastre Lucky girl de Donald
Petrie.
Abandon de See no evil, Stick it et The
wild, ainsi que de The proposition.
Sortie très discrète du film de Kevin bacon-réalisateur
(Loverboy)...