Doomsday |
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Mad Max chez les écossais. Fidèle à
sa jolie réputation de boucher, Marshall ne fait pas dans la dentelle
: sang à go-go, cervelle, charcutage de corps dans tous les sens,
cadavres dans différents états, canibalisme...etc. Côté
screenplay, on verse directement dans la série B : ambiance fin
du monde, mission dans une zone confinée, survivants revenus plus
ou moins au Moyen-Age, groupe de soldats, héroïne qui a piqué
50 % d'hormones à Selene (Underworld
; dont le 3ème épisode lui a piqué son actrice principale
!!!), 50 % à Alice (Resident evil).
C'est limpide, rentre-dans-le-lard, carré de chez carré
et, dans un premier temps, il y a même illusion d'efficacité.
Rien d'aussi profond que Les fils de l'homme,
non plus... Du Mad Max... enfin : du sous-Mad
Max comme on en a trop vu dans les 80's, sortir directement sur les rayons
de nos vidéothèques de quartier. Un méchant qui ressemble
plus à un clown qu'à autre chose (sa mort ne laissera d'ailleurs
aucun doute à ce propos) et une ambiance au confins d'une mauvaise
série Z sans l'ombre d'une idée (seulement celles piqué
ça et là : merci New York 1997),
sans surprise. Un film entièrement dévoué au Dieu
"action". Le renouveau n'est pas encore arrivé Max ! |
La critique des internautes |
Autant l'affiche française était tout simplement foireuse
et la BA laissait perplexe , le film est au final une série B
pleine d'hommages, totalement décomplexée et franchement
jouissive. UNKUT |