Destination
finale |
(8-9) |
Débuts appuyés, lourds, sur les angoisses
du crash aérien. Et pourtant, intrigué, on suit, sachant
que le film ira plus loin. L’idée est originale, le ton plutôt
juste, mais le scénariste ne lâche pas ses sabots. Le problème
c’est que son oeuvre dit en substance : le destin est une horreur
à laquelle on ne peut échapper. Un psycho killer qui essaie
de réfléchir sur la destinée et la mort avec une
violence farouche. Bien. Mais il faut croire en ce précepte catho
qui écarte toute idée du hasard. Question de point de vue.
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