Candyman,
day of the dead |
Turi MEYER |
(6-7) |
La légende urbaine continue... mais s'essouffle
largement. Dans le sang (rien de bien original ces crimes, mon bonhomme
!), dans le sexe (quelques belles paires de seins...). Le mythe s'enrichit,
son histoire se fait plus précise, réintégrant les
thèmes de l'amour inter-racial et du racisme. Et voilà un
bon vieux film d'horreur tout à fait dans la tradition grand-guignolesque
et qui, justement, a du mal à sortir du lot, du train-train habituel
et des ponctifs qui ont façonné le genre. Les amateurs n'y
verront que du fonctionnel un brin ronflant et un spectacle gore comme
on les connaît. |