Il efface.
Tout ce qui est à effacer pour protéger des témoins prêts à faire tomber de plus grosses pontes. Et sa route va croiser celle d'une jolie témoin en danger.
L'effaceur est un actioner à bout d'idées, porté banalement par un réalisateur que l'on a vu plus inspiré. Et c'est aussi sous le sceau de la banalité que se positionne l'ensemble du scénario et de sa pauvre trame, jusqu'en son twist mou, comme les gros blancs laissés dans l'histoire.
Si ce n'était quelques inventions visuelles et notamment ces armes de la mort, ainsi que son lot de scènes d'action plutôt fun et de punchlines d'époque ;: contractuel.
Du tout cuit pour Schwarzy.