Ça commence par une débauche de corps musclés et quelques bonnes baffes dans la gueule : à Moscou le fléau de la drogue fait son entrée avec la "détente" politique. Le mal provient des Etats-Unis d'Amérique.
On sent que Walter Hill applique à nouveau sa recette du succès : celle qui fit les beaux jours de 48 heures. Deux personnages antagonistes et beaucoup de baston.
Un russe balèze et rustre Vs un américain bedonnant et déconnant : cette fois c'est caricatural et attendu, très basique et complètement rectiligne, et le duo en question demeure un peu fade. En substance on s'ennuie devant cette traque mollassonne qui semble faire du surplace, tel un vulgaire épisode d'une quelconque série TV.