Parker c'est un petit casse banal qui ne finira
évidemment pas comme prévu ; et Jason de se faire
entuber. Vengeance ! En bon erzat de super-héros que
mêmes les balles n'arrêtent pas, le tout mâtiné
d'un soupçon d'hormone de vendetta prélevée
sur S. Seagal, il ne nous reste plus qu'à compter le
temps (long... très long... la scène est à
la fin du film et est vite expédiée) qui nous
sépare des bad guys. La méthode ? Une attente
passive, un p'tit dézinguage pour passer le temps, des
personnages secondaires qui s'efface là où il
devraient venir épaissir le film et un héros trop
gourmand qui nous ennuie profondément : Statham ne jouant
plus que des variantes auto-parodiques de ses mêmes personnages
(Transporteur en tête), sans broncher d'un iota, j'en
viens très sérieusement à me demander si
je doit vraiment revoir continuellement le même film au
fil des années ???