Danny fait sauter la banque.
Lorsque l'un des 11 / 12 se fait arnaquer et manque d'en mourir,
la bande reprend du service pour le venger : le principe est
simple mais il a le mérite d'être clair. Reprennent
également du service les dialogues cisellés, l'humour
en forme de cerise sur le gâteau, le montage elliptique,
des guests et les filtres optiques.
13 est énormément plus linéaire
que l'épisode précédent : avec son lot
de défis impossibles à relever et exposés
dans une première partie, un scénario aux petits
oignons et un nouveau concept plus excitant que novateur (non
plus voler mais faire perdre de l'argent à un casino)
avec la même mise en application des-dits défis
et, forcément, de gros pépins à la clé
et une nouvelle donne.
Ça bouge derrière son semblant de film facile,
ça rebondit un tant soit peu, mais au final Ocean's
13 est sans trop limpide, trop facile, se tortillant
de trop pour masquer ses défauts et restant sur le fond
un "film de casino". Même le twist est plus
light.