Fanny c'est à peu de choses près
le même emballage que Marius, la réalisation
insipide comprise, celle-là qui ne porte jamais l'émotion
jusqu'au coeur du spectateur. Mais, justement, le récit
est plus ancré dans un véritable drame humain,
d'époque, et balance très justement avec un humour
mieux retranscrit, ce qui rend cette fois la bouillabaisse mieux
appétissante. Au fait : vous avez remarqué que
Fanny la pleureuse verse une larme à chaque scène
; le livre est-il aussi larmoyant ?