Master
of horror : family |
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Ouverture à l'acide (au propre comme au figuré
!) pour un portrait de psychotique en mal de famille et dont la folie
fait se confondre réalité et fantasmes. Rien à dire
le segment est bien fait : musique douce pour souligner la démence
du bonhomme, photo léchée, personnages touchant... mais
le retournement de situation est tout de même à demi-attendu,
pour ne pas dire déjà vu et le final façon "Dernière
maison sur la gauche" en très soft n'a pas de quoi nous
exciter outre mesure... Bien mais sans plus. |