Dar
l'invincible |
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On attendait au tournant l’auteur original qu’était
Coscarelli… mais cette fois l’imagination libérée
fait place à un conventionalisme très série B et
sa réalisation ne fait qu’étendre la maladresse, alors
tranformée en charme, des premières œuvres et rares
sont les plans qui nous réveillent (les vues de l’oiseau
?). Il y a rien à dire de cet erzat de Conan,
qui d’ailleurs fonctionne sur le même théorème
de la vengeance. |