2072,
les mercenaires du futur |
(1-2) |
D'unn "Z" qui veut dire... Fulci ! Quand Lucio faisait son Rollerball mâtiné de Running man : nous sommes en 1983. Fauché comme les blés, 2072 recycle sans talent : un scénario racoleur, une mise en scène pompier et infantile (cherchant parfois et honteusement à copier les maîtres italiens du giallo), des effets désuets, un montage terriblement chaotique, des décors chiches et hideux, une lumière exagérée et une musique marquée (mais avec un joli air). Les mercenaires du futur pique méchamment les yeux (à éviter si épileptique...) : c'est une catastrophe esthétique et artistique, absolument insensée et risible, il n'y a strictement rien qui tient debout ; mais nous ne sommes là que par curiosité et passion pour le genre. Et ne cherchz surtout pas les mercenaires du titre... |