La
dixième victime |
(8-9) |
Résoudre le problème de la guerre ou du
crime par un jeu officiel où la violence, le meurtre et tous ces
bas instincts primaires sont légaux et acceptés par les
candidats ; un défouloir extrème. Les films de ce genre
sont légions au cinéma ("Le
prix du danger", "Running
man", "Battle royale",
"Rollerball" et ses remakes
plus ou moins avoués) : SF minimaliste, moins intello que la version
française, moins visuelle que la version US et moins violente que
celle en provenance du Japon, ce film se veut plus cynique mais manque
terriblement de ferveur et de fougue, s'enlise un peu dans les défauts
du ciné italien de cette époque et se traine alors qu'il
est censé être une chasse à l'homme. Je n'évoquerais
que légèrement le détail des pistolets qui tirent
sans fumée ou, visiblement sans balles. Ringard. |