Brûle,
sorcière brûle |
(10-11) |
Un film qui aurait pu s’appeller « Ma femme
est une sorcière »... ou le combat de l’incrédulité
scientifique représentée par le mari contre la sorcelerie
et plus généralement les croyances et les superstitions
(quelques bons éléments d’analyse). Un film qui sait
poser la question pour nous mettre le doute, sans effet tapageur (même
l’aigle de la fin passe très bien) mais avec une certaine
atmosphère, un climax qui pose personnages et situations. Un film
qui fonctionne un peu comme « Simetierre
», une réussite qui colle à la réalité
du mythe des sorcières. Avec un bon acteur dans le rôle principal.
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