L'attaque
de la femme de 50 pieds |
Christopher GUEST |
(6-7) |
L’intention est louable : l’hommage via
les décors chiqués, les rétroprojections de papa…
mais pourquoi ne pas avoir corrigé les défauts artistiques
: personnages stéréotypés, bases scénaristiques
ringardes, drôlesques, très « mauvaises série
B », acteurs de même niveau. Les scénaristes remuent
de la soupe pour nous faire patienter ; les trucages arrivent, sidèrent
leur public… du pure divertissement (oublions le message féministe
en filigramme) à comparer du chef-d’œuvre inverse qu’est
« L’homme qui rétrécit
» et son message philo-anthropologique. Le réalisateur est
sous somnifère. Pas toujours désagréable mais aussi
pondéreux que la femme jalouse sans cervelle. B, B, B . Question
: à quoi servait l’introduction ? |