BOX-OFFICE
(du 28 septembre au 4 octobre 2011) |
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Rang |
TITRE |
Entrées |
Variation hebdo |
Cumul (Millions) |
Budget |
Nbre de copies |
Moy / Copie |
1 |
La nouvelle guerre des boutons |
298 000 |
- 43 % |
0,820 |
15 M€ |
559 |
533 |
2 |
Identité secrète |
295 000 |
New |
0,295 |
35 M$ |
311 |
950 |
3 |
Un heureux évènement |
191 000 |
New |
0,191 |
11,5 M€ |
373 |
512 |
4 |
La guerre des boutons |
177 000 |
- 37 % |
1,095 |
12,8 M€ |
629 |
282 |
5 |
Crazy, stupid, love |
90 000 |
- 31 % |
0,448 |
50 M$ |
262 |
343 |
6 |
Les hommes libres |
80 000 |
New |
0,080 |
8 M€ |
199 |
403 |
7 |
Mais comment font les femmes ? |
73 000 |
- 43 % |
0,202 |
24 M$ |
279 |
262 |
8 |
Habemus papam |
70 000 |
- 33 % |
0,525 |
9,5 M€ |
327 |
214 |
9 |
La guerre est déclarée |
67 000 |
- 35 % |
0,710 |
1,8 M€ |
347 |
192 |
10 |
Shark 3D |
56 000 |
- 51 % |
0,170 |
28 M$ |
209 |
269 |
11 |
Sexe entre amis |
56 000 |
- 37 % |
0,519 |
40 M$ |
236 |
236 |
12 |
Et maintenant on va où ? |
52 000 |
- 30 % |
0,228 |
- M€ |
176 |
297 |
13 |
Le cochon de gaza |
46 000 |
- 26 % |
0,109 |
4,2 M€ |
116 |
400 |
14 |
46 000 |
- 37 % |
3,219 |
93 M$ |
288 |
212 |
|
15 |
L'Apollonide - Souvenirs de la maison
close |
42 000 |
- 34 % |
0,107 |
3,8 M€ |
94 |
403 |
16 |
Destination finale 5 |
39 000 |
- 43 % |
0,937 |
47 M$ |
249 |
156 |
17 |
We need to talk about Kevin |
37 000 |
New |
0,037 |
- M£ |
52 |
707 |
18 |
Présumé coupable |
35 000 |
- 40 % |
0,352 |
6,1 M€ |
258 |
134 |
19 |
33 000 |
- 33 % |
2,647 |
110 M$ |
314 |
105 |
|
20 |
The warrior |
27 000 |
- 53 % |
0,185 |
25 M$ |
125 |
216 |
- |
Tu seras mon fils |
23 000 |
- 41 % |
0,672 |
6,9 M€ |
245 |
96 |
- |
Restless |
22 000 |
- 50 % |
0,067 |
- M$ |
92 |
244 |
- |
La piel que habito |
21 000 |
- 40 % |
0,689 |
13 M€ |
195 |
107 |
- |
Fright night |
17 000 |
- 67 % |
0,176 |
30 M$ |
136 |
125 |
La guerre des nerfs et un combat pour la pôle position. La lutte continue, une lutte chiffrée pour ma part : deuxième semaine de compétition pour La nouvelle guerre des boutons de C. Barratier, avec K. Merad et G. Jugnot, qui dans un contexte pourtant plus favorable (pas de creux post-rentrée du ciné) recule tout de même de plus de 40 % (contre 56 pour son concurrent) ; il n'empêche qu'après 14 journées les deux films ne sont plus tout à fait au coude à coude puisque La guerre des boutons cumulait 918 000 spectateurs, et ils démontrent surtout, si besoin était, que ce double programme n'aura fait que partager en deux les recettes. Les deux films repartent sur des bases presque similaires et l'armistice est loin d'être signé : avantage "vieille guerre des boutons". Identité secrète est un thriller de J. Singleton avec T. Lautner, A. Molina et S. Weaver. Si pour le réalisateur c'est un beau démarrage puisque, hors F&F, il n'a pu faire mieux qu'avec Shaft (311 000 blaxploités), pour Taylor, sans être un score honteux, c'est un peu plus délicat : tout comme un H. Christensen il y a quelques années, celui-ci essaie de voler sans les ailes d'une grosse licence (Twilight en l'occurrence) tout en espérant en créer une sur son seul nom (les producteurs ont annoncé un peu vite une future trilogie) ; mais Hayden / Darth Vador avait réussi son examen de passage puisque qu'il sautait jusqu'à 627 000 entrées en 7 jours avec Jumper... qui n'avait pas pour autant abouti en terme de suite(s). Alors, ce nouveau Bezançon ? Après le succès qualitatif du 1er jour du reste de ta vie (190 000 entrées la 1ère semaine mais plus de 1,2 million au total) R. Bezançon revient à la rencontre de son public avec Un heureux évènement, bien épaulé par L. Bourgoin. Examen délicat que de faire suite à un gros succès puisque cette nouvelle oeuvre trouve exactement le même public que la précédente, surtout qu'à ce stade il est extrêmement délicat, pour ne pas dire franchement osé, de lui prédire un bouche-à-oreille aussi excellent ; on attend les chiffres de la semaine 2.
La guerre des boutons de Y. Samuell
avec M. Seigner et E. Elmosnino franchit doucement son million de spectateurs
après 3 semaines de sortie alors que le cap aurait pu être dépassé
en moins de 7 jours ; quoiqu'il en soit le film reprend quelques couleurs
mais les vacances scolaires sont bien trop éloignées pour qu'elles
puissent le soutenir au-delà des 1,5 millions. Crazy, stupid,
love avec S. Carrel, R. Gosling et J. Moore s'écrasera joliment
au-delà du demi-million de fauteuils bien remplis puisque Steve semble
enfin jouir d'un statut de "grand comique" aux yeux du public français,
dépassant bientôt les scores déjà honorables de
Crazy night (462 000 entrées). Les hommes
libres est un drame de I. Ferroukhi
avec M. Lonsdale, film qui n'a en apparence qu'un défaut : son distributeur
a certainement surévalué son potentiel commercial, le réalisateur
n'étant connu et reconnu que d'une infime poignée de cinéphiles
très avertis, basant sans doute sa confiance sur un Lonsdale encore
tout auréolé de son César. Tout a été dit
lors de la première semaine de Mais comment font les femmes
? de D. MacGrath avec S. J. Parker et
P. Brosnan : le film ne fera pas date un point c'est tout. Ca sent déjà
la fin pour Habemus papam de Nanni
Moretti avec M. Piccoli ; reste un très beau succès. Même
son de cloche pour La guerre est déclarée qui
s'approchera des 800 000 entrées ; pour un budget inférieur
à 2 millions et une carrière internationale qui n'est même
pas entamé (Oscar ?). Fermeture de Top 10 pour Shark 3D
de D. Ellis qui s'éclipe comme tout film
d'horreur lambda qu'il est et comme tout film de David ; Des serpents
dans l'avion et Destination
finale 4 perdaient tout deux 57 % de fans.
Ce n'est plus un secret : Sexe entre amis de W.
Gluck avec J.Timberlake et M. Kunis, Et maintenant on va où
? et La planète
des singes : les origines sortent du Top 10.
Seulement 4 nouveautés dans le Top 20... Le cochon de Gaza
conserve sa position de la semaine dernière : c'est déjà
un beau miracle.
L'Apollonide - Souvenirs de la maison close est un drame
de B. Bonello s'essouffle un peu mais survit.
Destination finale 5 rêve encore du million mais perd
trop de spectateurs pour ce faire ; un beau succès tout de même.
We need to talk about Kevin est un drame de L.
Ramsay avec J. C. Reilly et T. Swinton qui semble-t-il trouve sa place
grâce à des acteurs portés... par cette même grâce
; le 1er film de l'auteur à sortir en France : mérité.
Présumé coupable avec P. Torreton reste un
peu faible, même sur la fin de sa carrière, Les
Schtroumpfs (R. Gosnell) mettent
encore un peu de bleu dans le Top et Warrior de G.
O'Connor avec T. Hardy et N. Nolte tombe.
Plus d'identité : Fright night de C.
Gillespie avec C. Farrell, Tu seras mon fils,
Restless est un drame de G. Van
Sant avec M. Wasikowska et La piel que habito de P.
Almodovar sont au coude à coude à tout point de vue.
La part de marché des films français sur le Top 20 (et plus si affinités...) est de 53,52 % (+ 1,1 points) cett semaine !!!