Finalement je me lance...
Parents débordés par leurs deux enfants, la folie et le brouhaha parisien, Adélaïde et Simon partent vivre dans la paisible campagne française. Paisible ?
Passé un petit coup de peinture bucolique très poussif et idyllique, afin de mieux embrayer sur l'enfer qui va suivre (la servitude de passage aurait en réalité été expliqué clairement par le notaire... mais il n'y aurait pas eu de film), Chasse gardée s'avère... caricatural.
Le scénario aborde du bout des lèvres les problèmes que soulève chaque année la chasse en France en prenant tout les chemins possibles, notamment l'entente difficile entre épris de chasse et avide de tranquilité, mais le film rate le coche quant à nous pondre une "Guerre des Rose" en mode parisiens Vs chasseurs.
C'est pas méchant, sans grande surprise, jamais réellement profond (la campagne reste souvent assez vieille France, les parisiens... caricaturaux ?), mais le film a surtout eu du mal à me tirer un sourire et me garder concentré sur son script.