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The tender bar
Budget = - M$
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Le refuge d'une maison familiale, autour des grands-parents. Bien aidé de cet oncle Charlie qui vous aide à grandir en l'absence d'un géniteur.
Chaleureux, bruyant, solaire : tel est The tender bar. Une chronique sur l'enfance, à travers ce manque et cette recherche d'une figure paternelle, d'un exemple à suivre, d'un modèle auquel s'identifier, et tout autant une chronique familiale douce amère, en tous les cas tendre comme un souvenir, de ceux qui vous bercent jusqu'à votre dernier souffle. C'est également une chronique de la vie estudiantine, de la vie d'un jeune adulte, celle qui vous ramène toujours dans le même giron familial.
Une maison comme un cocon sécurisant duquel les enfants ont peine à partir et ne manquent jamais de revenir en cas de néssecité. Une oeuvre qui évoque également les échecs et les réussites inhérents à l'existence, qui parle de ces êtres qui vous apportent tant et vous aide à grandir, à appréhender la vie et à vous construire en tant qu'être humain. On regrettera assurément que le personnage du grand-père (magnifiquement interprété par Christopher Lloyd) ait tendance à s'effacer au fur et à mesure que le métrage avance ; même remarque pour la grand-mère, trop estompée.
Un film qui fleure bon les années 70, bénéficiant d'une photographie irradiée, d'une musique qui swingue originalement. C'est une œuvre qui nous fait du bien, touchante, sensible, simple mais trouvant le ton juste et un angle d'approche pertinent. Ce que Prime fait de mieux.

La critique des internautes
 

 

NOTE : -/20

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