Un boxer devenu prêtre.
Un loser pathétique et vulgaire, gros lourdeau et d'une
intelligence très moyenne, mène sa carrière
et sa triste vie dans de minables matchs de boxe, avant une
tentative désespérée de percer à
Hollywood (?). Mais, lui qui jure comme un charretier et n'a
pas été élevé dans la religion,
tombe amoureux d'une belle chicanos très catholique.
Avant l'accident qui changera irrémédiablement
sa vie.
Stu, profondément athée, deviendra un prêtre
atypique, voir peu orthodoxe, mais sincère à travers
ce qui sera le chemin de croix d'une adhésion torturée.
Father Stu n'est pas l'histoire toute écrite
d'une conversion banale et glorieuse, basique et classique,
mais celle d'un changement lent et complexe, débuté
pour de mauvaises raisons (l'amour) et poursuivit comme nécessaire
; une canne pour survivre.
M. Walhberg s'investit à fond dans son rôle et
Mel Gibson y est impressionnant, avec ses punchlines faciles
mais également sa puissance.