Une figure politique (rappelant Alexandra Ocasio-Cortez ??)
se fait assassiner.
Blacklight c'est l'histoire d'un agent du FBI,
tendance maniaque, qui exfiltre des collègues dont la
couverture a été compromise. Il va découvrir,
via un collègue, que le petit monde idyllique des agents
fédéraux est pourri jusqu'à la moelle.
Sans oublier l'aide précieuse d'une journaliste et la
trahison d'un ami ; bien sûr.
Le scénario transforme tout en éléments
de film d'action, humanisant comme il peut son héros
fatigué et au passé lourd. Et on se demande bien
pourquoi le scénariste tue le suspense dans l'œuf
au bout de 35 minutes, seul élément succeptible
de nous hyper. Le film était déjà clair
comme de l'eau de roche, il devient ennuyeux et rébarbatif.
Le réalisateur n'y met guère du sien pour élever
le débat, quand il ne verse pas dans la caricature. C'est
une rengaine connue, des personnages rabâchés,
des situations vues et revues, et derrière tout cela
on trouve la même mécanique rouillée : les
gentils sont en fait des méchants, mais le super-gentil
saura les démasquer à la fin. Comment ?
En réalité : 1/ on s'en fiche éperdument
- 2/ on le sait déjà.
Next.