G. Mallory a-t-il été le premier homme à
avoir vaincu l'Everest ?
Presque une légende : un appareil photo égaré
pourrait donner la réponse à cette énigme
et ainsi remodeler l'histoire de l'alpinisme mondial. Le
sommet des dieux est une oeuvre sur une passion, passion
aussi dangereuse qu'addictive. Folle et impressionnante.
Et nous sommes immédiatement conquis par ces dessins
saisissants, sensationnels -autant urbains que montagnards-
aussi bluffants qu'époustouflants, troublants de réalisme
et destinés à sublimer une enquête des plus
exaltante, entre passé et présent, prenant pour
cadre l'alpinisme et les plus hauts, les plus beaux sommets
du monde.
Le rendu, la densité des images donnent lieu à
des séquences d'exception qui le partagent à une
musique incandescente, une tension palpable, dans une œuvre
totalement immersive, vibrant hommage à ces aventuriers
trompe-la-mort, sportifs accomplis, à tous ceux qui furent
littéralement avalés par ces géants de
pierre, monstrueuses éminences, au travers d'un voyage
au sommet du monde, au bout de l'endurance humaine, du dépassement
de soi ; inoubliable. Impressionnant. Fascinant.
On sent une passion dévorante derrière Le
sommet des dieux, ce qui en fait un film de énivrant,
fou furieux. Une oeuvre qui restera dans nos mémoires.