Le riche Maurizio Gucci tombe sous le charme de Patrizia Reggiani, 
                  secrétaire de son état et quasi roturière 
                  face à l'héritier de la maison Gucci (quoiqu'héritière 
                  d'un riche entrepreneur, ce qui amoindrit la puissance de l'histoire 
                  à mon sens...). Ceci est le récit d'un crime que 
                  l'on connaît parfaitement dès le début. 
                  Alors...
                  Alors on s'accroche à une distribution qui fait tourner 
                  la tête des spectateurs les plus blasés (même 
                  Lady Gaga m'a convaincu) et nous plonge idéalement dans 
                  cet univers.
                  Car ce n'est pas cet étalage de richesses et de scènes 
                  assez convenues, pauvres en thèmes riches (ceux lié 
                  à la manipulation, à la cupidité, rien 
                  de moins attendu) qui élèvera House of 
                  Gucci ; l'histoire du cousin plombe d'ailleurs le film 
                  en ne trouvant jmais de sens et, comme je le disais en introduction, 
                  plus qu'une lutte de millionnaires, il s'agit ici du spectre 
                  de la réussite, de la jalousie et d'une rancune meurtrière 
                  qui est moteur d'une histoire qui ne nous suprendra jamais.
                  Ridley Scott émerge de par son sens inné des images, 
                  mais je ne me suis jamais passionné pour ce récit. 
                  
                  2h37 de film et si peu de choses à dire...