Still Alice : elle est atteinte de la maladie
d'Alzheimer et nous allons suivre son parcours de vie, ses relations
plus ou moins changeantes avec les siens, sa dégradation
physique, morale et intellectuelle. C'est précis, claire
et.... attendu. Sans même une connaissance profonde de
cette maladie on imagine très bien ce qui va arriver
à cette pauvre dame, ce qui me fait dire que ce n'était
pas forcément le bon angle d'approche pour ce film ;
le sentiment d'empathie éventuellement généré
par la situation n'abouti pas forcément sur une oeuvre
cinématographique de qualité. Le film est bien
trop didactique. Points positifs : je ne suis plus allergique
à J. Moore mais je préfère très
nettement le jeu de K. Stewart, décidément de
plus en plus étonnante, et la réalisation impliquée
et fine de l'auteur (le jeu avec les flous).