Fiston m'a presque soigné de ma duboscophobie...
c'est dire ! Le film va au-delà du simple rire (même
si K. Adams fait du K. Adams sans autre nuance que celle observé
dans SODA), c'est léger, ça mange pas de pain
mais ça passe. Car Dubosc change enfin de registre, laissant
ses personnages de dragueurs benêts et pathétique
au placard pour prendre l'armure du grognon sensible. On effleure
même l'émotion... Le scénario manque vraiment
de nous étonner (ben oui : ceux qui n'ont pas deviné
le "twist" final ont raté 100 ans de cinéma),
la réalisation est trop légère, trop sage,
sans ambition aucune et c'est visuellement trop impersonnel.
Mais je ne vois pas pourquoi je bouderai un bon moment ; Dubosc
? A suivre...