Dans Le dernier diamant on reconnaît
bien vite la griffe de ce trop rare réalisateur qu'est
Barbier : élégance, performance, efficacité.
Mais c'est tout le reste qui va faire couler le film : à
la fois un côté bien trop technique qui oublie
l'aspect humain, une love story idiote, un twist artificiel
et surtout un sujet jamais magnifié (un casse). Ajoutez
à cela -et c'est tout personnel- que le duo Attal (dont
je n'arriverai décidément pas à apprécier
le talent...) / Bejo ne fonctionne jamais et voilà notre
patience qui vole en éclat.