| Il est indiscutable que les décors 
        sont d’une très grande beauté et d’une incroyable 
        richesse visuelle... hélas on fini par se rendre compte de l’aspect 
        rigide de cette nouvelle race d’effets spéciaux –seul 
        intéret du film-, aspect qui se marie très bien avec le 
        statut « théatre filmé » assez pitoyable de 
        cette nième ratage de l’auteur. Raide comme la justice, une 
        réalisation insupportable pour quiconque sait aligner 2 plans sur 
        un banc de montage : voyez la scène de dialogue du 1er quart d’heure 
        (après le changement de pièce des 2 interprètes) 
        filmé avec les pieds, sans but et absurdement (l’homme calé 
        sur la gauche, avec l’espace du regard sur la droite, mais la femme 
        étrangement centrée –par galanterie je suppose puisqu’elle 
        n’est pas au centre des débats- puis, soudain, opportunistement, 
        lorsqu’ils se touchent, décalé de façon plus 
        logique ; insensé et hideux. Mais pour une fois on ne regardera pas le film mais le tableau de chaque décor... c’est toujours mieux que le néant auquel Rohmer nous avait habitué. Et en plus c’est monarchiste ! ! ! |