Une grosse meringue commerciale qui ne ressemble
que de loin à Ozon : un scénar à la A.
Christie, mais en plus bâteau ; des personnages aux innombrables
casserolles dont on finit par peiner à croire (l’accumulation
devient pesante pour le spectateur et la crédibilité
s’en ressent). Du produit vendu sous le nom de son prestigieux
casting, une machine à César (raté de ce
coté). Et Ozon ? L’homosexualité, l’intégration
des chansons d’une grande originalité, une réalisation
bien faite, la vision explosive de la famille... Banal finalement.