La
voce della luna |
(17-18) |
Fellinien, on ne peut trouver une trame solide à
laquelle se rattacher, mais des scènettes qui parlent de tout et
à tous ; et de la lune. Un vrai poême de Ginsberg, prenant,
complètement irréel mais plutôt logique. Un voyage
nocturne, une quète, le récit d’une folie… l’irracontable.
fellini filme les émotions, l’impalpable, le surréaliste,
l’indécis mais en dit beaucoup qu’une vingtaine de
métrages de série. Très drôle, fantastique
et, comme il nous est dit : Malheur à celui qui cherche à
comprendre. |