La
ville fantôme |
(6-7) |
C'est l'histoire d'un type qui meurt. Et d'un autre
qui a des problèmes de relations humaines et de transit intestinal.
Ils meurent et vont devoir s'adapter... chacun à sa façon.
Et puis il y a des fantômes qui font éternuer et un ectoplasme
ni tout a fait mort ni tout à fait invisible qui devient le seul
lien entre vivants et morts. Malgré tout ça reste une comédie
aussi légère que banale à tout point de vue, scénaristique
et mise en scène, dont le pitch ne fait que servir un semblant
de bonne morale, un espèce de parcours initiatique hyper classique
(l'égoiste qui va devenir, forcément, humaniste), trop pour
être original, et de l'humour fantômatique qui ne changera
rien à rien ; ni personne d'ailleurs. Pas assez inventif ni assez
méchant ("comme quand on va voir sa grand-mère",
en parlant de l'odeur vomitive d'une momie, le racisme) pour emporter
une adhésion minimum, bavard et couplé d'une love story
attendue et entendue. Pour un si grand scénariste... |
La critique des internautes |
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