La
vampire nue |
(5) |
Rollin atteignait déjà son quota de femmes
nues, savait encore créer un semblant d'atmosphère de série
Z, marquée et assumée, au gré d'un scénario
que l'auteur est décidément le seul à comprendre
pleinement. Vous trouverez ici moult excentricités (la maison aux
invités, les masques, les savants...etc), une histoire rocambolesque,
une véritable obsession des seins, des longueurs à n'en
plus finir dans ce film érotique "intellectualisant"
ou plutôt à prétention poétique. C'est ubuesque,
les dialogues coulent l'oeuvre, les délires non-sensiques finissent
par nous gaver et on sent que l'oeuvre n'est pas maitrisée du tout
: de l'anarchie involontaire ? |