Un
chien andalou |
(17-18) |
Je l’admet : j’ai pas tout compris de ce
que l’auteur a voulu exprimer avec son histoire de désirs
sexuel, d’âne mort sur un piano et d’œil coupé
au rasoir et en gros plan. Mais il est indéniable que Bunuel a
réalisé son film avec beaucoup de passion et de recherche
visuelle (changement de plan et angulation) et puis l’atmosphère
permet au spectateur d’être initié dans un univers
hors norme et dingue. A chacun de l’interpréter. Apogée,
seule et unique pure représentation cinématographique du
mouvement surréaliste, ce film est le reflet d’une époque
hypocrite (plus qu’une autre ?) |