Un
amour de sorcière |
(6-7) |
Prenant partie d’américaniser le produit
(très bien !) ils tombent dans les affres de la niaiserie pure,
du scénario qui coule de source, de l’histoire qui coule
tout court –bref du Hollywood version 80’s, sans risque, sans
rien, juste un festival d’effets plus ou moins impressionants, une
débauche inutile de pognon qui méritait plus passionnant
traitement. Pas désagréable au point de fuir mais…
qu’ils sont gros et gras ces sabots ! Gentil, gentil, cul-cul où
alors seulement comme fairy tale pour le cycle I. |