Tykho
moon |
(6-7) |
Ca ressemble à de la SF muette, étouffé
de dialogues sous la griffe froide de l’auteur, très perso
(couleurs, gueules, décors…). Plutôt chiant car trop
ambitieux, où prétentieux : il manque à tout cela
un moteur émotionnel, un but à cette chasse, une coercission
des petites idées (anticipation, immortalité), un rythme
cinématographique. Bilal ne fait pas encore d’effort pour
nous passionner, il est trop rigoureux, trop intello (ou trop dessinateur...).
Il n’y a que la présence d’un Piccoli toujours aussi
charismatique. |