Le
testament d'Orphée |
(15-16) |
Destructuration du récit (non-chronologique mais
logique), des décors (un plateau de cinéma) et finalement
de tous nos repères diégétiques. Alors on se laisse
porter par le poétique de cet ensemble plutôt changeant,
au demeurant très agréable malgré son intriguante
composition aux effets vieillots. Graphiquement beau. Notre étonnement
nous tient en haleine. Le film est un clin d’œil pleinde message
personnels. A savourer dans l’instant, nos oreilles caressées
par les dialogues, nos sens congratulés par un auteur engagé…
dans son œuvre. |