Tarzan
et la cité perdue |
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Un Tarzan sevré à Indiana Jones ; ou une
encyclopédie de ce que Tarzan a de plus commun, « bateau
». Un film d’aventure qui oublie que dans aventure il y a
« mystère », « surprise » et « étonnement
». Du pure artifice matiné de magie africaine à deux
francs. En plus Baker ne s’est pas occupé des singes. Désolé,
mais dans le genre nostalgique, « Congo » était moins
médiocre si on le compare à ce truc au final pyrotechnique
qui nous rappelle que Schenkel n’a rien compris. Rien. |