Les
trois visages de la peur |
(6-7) |
1er sketch : Acceptons le fait que la femme raccroche
toujours son téléphone, que l’énigme semble
vite dévoilé et que le bouleversement n’a rien de
bouleversant. Bava tient les rênes d’un segment très,
très fade. » 2ème sketch : lumière, brume, décors… et vampires, pour un film baroque, très « Universal ». Trop. Trop classique pour soulever la passion. 3ème sketch : Macabre comme du E. A. Poe et joliment orchestré. De l’épouvante à l’anglaise. Pas de révolution. |