Aussi sympathique qu’un picnic du dimanche où qu’une vieille couverture du Saturday Evening Post ; mais comment font-ils ? Est-ce ces décors de carton branlants, ce fusées à la Tintin, ces aventures rocambolesques, un rien complexes et très touchantes, ce acteurs débordant de passion, ce réalisateur farouchement attaché à nous offrir des plans d’effets spécaiux presque léchés… c’est un peu tout ça en fait, autant de défauts que d’attrait. Objectivement, ça n’est ni un ratage à la Ed Wood, ni un 2001 – ça louche vers Honda et, si l’on aime le ciné avec un grand « C », on appréciera d’étudier sa préhistoire. Régalez-vous.