Le
sang des innocents |
(6-7) |
Dans son genre de prédilection (giallio), avec
les mêmes genres de personnages, avec sensiblement la même
psychologie (traumatisme, recherche...), la même musique (toujours
bons ces Goblins), le même maquilleur (Stivaletti, qui nous offre
une ultime séquence gore d'anthologie), le même type de scénario,
auquel, ici, on a du mal à croire durant la première moitié
du film, la même violence sadique (mais ça on aime...), les
mêmes scream queens... On se croit toujours dans les 80's avec Argento
! Le problème : les petits "tics" du scénario
on du mal à fonctionner avec la génération actuelle,
sevrée au "Scream" et autre "Scary movie".
Heureusement l'histoire du nain fini par nous emballer, son mystère
et ses effets de scénario qui finiront par détourner intelligemment
notre attention... |