Que
la lumière soit |
Arthur JOFFE |
(6-7) |
La pléiade impressionnante de guest-stars a tendance
à diluer l’idée de départ… la déconcentration
sans doute. Des personnages par dizaines qui traversent la scène,
de l’humour-quota, un fantastique pratique, une intrigue maigrichonne.
C’est pas nul du tout mais c’est guère passionnant,
voir lassant. Pas même une réflexion sur le 7ème art
(Dieu –l’auteur- veut faire son film pour sauver le monde
/ l’art mais le Diable / le producteur veut détruire son
œuvre. Très manichéen, non ?). Critiquer le cinéma
populaire, ou de genre, par le biais d’une comédie grand
public : fort ! ! Trop de bons sentiments. |