Prisonnières
des martiens |
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Le pape du ciné fantastique japonnais, celui
qui influença X-or et compagnie, nous offre un sommet du cinoche
kitsch aux effets bricolés mais sympas, au scénario ultra-basique
et simplet… le tout fabriqué dans la bonne humeur. On peut
trouver ça débile ou ringuard ou gentil. Objectivement c’est
du B, même du Z américanisé, très faible, réservé
aux inconditionnels, pourtant très dépaysant dans sa forme.
Plus très frais. |