The
postman |
(10-11) |
Après le futur humide de « Waterworld »,
voici le futur sec du Postman : mais la recette est la même, où
comment transformer une modeste série B en un film hollywoodien.
Près de 3 heures pour un film descriptif (le camp militaire, l’évasion,
le boulot de postier), c’est un peu long pour pas grand chose. L’idée
de ce facteur post-apocalyptique reste séduisante, les images sont
agréables, mais rien ne vient nous boulverser. Encore un sous-Mad
Max où l’eau est remplacée par les relations humaines.
Laissez vous embarquer par l’aventure, reposez-vous les méninges.
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