Kunihiko YUYAMA

Oublions les insupportables 20 minutes du premier cartoon (pas d’histoire mais un mauvais délire bébé non-sensique aux couleurs affreuses où le seul intérêt est de reconnaître les gugusses ; une vitrine commerciale abominable). Le second est construit autour d’un scénar très game boy : ça se bat de la 1ère à la dernière image, l’intrigue est linéaire mais pas nullarde (l’explication des transformation de pokémon par la génétique), ça tient un peu des jeux du cirque et l’univers est assez imaginatif (l’existence des P., cet univers parallèle connu des seuls enfants), fou, bigarré. A découvrir bien qu’assez vite rébarbatif et peu surprenant.