Lancé par une séquence pitoyable de flashback
insignifiant, le film embraie sur un hommage conséquent
aux comédies puériles et... insignifiantes des
années 80. Bref : pour ce qui est de l'histoire (invasion
ET & happy end) et du scénar (love stories), tout
est là, tout est dit, et au bout de 10 minutes le temps
va commerncer à être vraiment très long
puisqu'aucune surprise ne viendra égaiyer ce spectacle
indigent : 1h45 de scènes de combats ideux et trop faciles,
faussement articulés autour d'un erzat de script resté
à l'état de brouillon. C'est laid, chiant, aussi
romantique qu'un dîner au McDo et le pauvre Sandler a
beaucoup moins de liberté que sur les poilants et assumés
Copains pour la vie. Mou du genou, jamais excitant,
flippant, sans enjeu, toujours trop propre sur lui, sans l'ombre
d'un suspens, ennuyeux, ce film sonne le creux de bout en bout
et restera aussi simplet qu'un video-game d'arcade, mais sans
l'interactivité qui va de pair. Un film inspiré
d'un court-métrage et qui aurait dû resté
dans cet état premier ; et une très difficile
fin de carrière pour le papa ciné de Harry Potter.
NOTE : 5 / 20