Pinocchio
et Gepetto |
(10-11) |
L’avantage des suites c’est que le scénariste
doit vraiment se creuser pour surprendre (mais ça arrive pas souvent...)
; Et là c’est le cas, on aime où on aime pas, mais
l’idée de la double inversion (pinocchio de chair, Gepetto
de bois) va dans le sens du roman original, le monde des freaks et celui
inquiétant des foire d’antan, la relecture de la structure
du roman sont objectivement séduisant. Anderson est un peu fatigué.
Un film qui nous émerveille avec des marionnettes. |