Peur
sur la ville |
Michael MILLER |
(1-2) |
Oscille entre racolleur, plat, lent, faible, stupide
et sans imagination. Chuck Norris semble voué à jouer éternellement
dans de tel navet… A fuir de toutes urgences : ce n’est même
pas violent malgré les efforts de cette équipe digne de
figurer dans une anthologie du Z. |