Perdita
Durango |
(13-14) |
Du cinéma extrême : ultra violent, irrévérencieux,
provocateur, amoral, chocant,, monstrueux. Brian Gifford remet le couvert
après « Sailor et Lula » et De La Iglesia s’atèle
à l’œuvre de façon moins subtile que Lynch mais
plus trash, les personnages ne sont plus vraiment humains car il n’y
a plus de place pour la romance et l’amour. On reste fasciné
par ce mal à l’état pur mais, ici, le « trop
», tue un peu le film. En tout les cas on retrouve l’univers
de l’auteur, matiné de Santeria et de Mexique. Un film jusqu’au-boutiste.
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