La
part des ténêbres |
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Voici un Stephen King un peu autobiographique et un
Romero un peu vieillissant. En clair, si King est vite reconnaissable,
même si la métaphore sur l’écrivain est magnifique,
la trame tombe vite dans le classicisme et elle n’arrive pas à
trouver son originalité. Ensuite Romero est un peu mou, moins subtile
qu’avant. La scène finale et le suspense viennent mettre
du beurre dans les épinards. Photo brumeuse et réussie,
C. Young à la musique ( ! ! ?). Sincère. |